Je veux voir et en même temps, ne pas voir et nier
J’ouvre la porte de la connaissance et de la volonté
Décidée à apprendre et grandir encore
Résolue à accepter et à la fois ne pas accepter
J'aimerais oublier mais aussi ne pas oublier.
Les images de ta détresse
Tout au long de ta vie,
Remontant sans cesse à ma mémoire
Alors, mon ventre et le fond de mes entrailles hurlent
Je veux revoir ton immense sourire
Et en même temps ne pas le revoir
Parce que, pour l’instant, ces moments ne sont plus
Ces instants heureux, perdus dans le temps, si loin.
Mon fils, je te donnerais ma vie
En étant assurée qu'au lendemain même
Tes souffrances ne soient plus,
Comme si elles n'avaient jamais existé
Effaçant du même coup
Le souvenir de tout ce mal et ces blessures si grandes
Qui t’habitent et dont tu souffres constamment.
Et au fond, qui peut t'aider plus que toi-même...
Et pourtant
Je jure d'y être toujours
D’une autre façon,
Discrète et aimante à la fois
À la demande, à ta demande
En son temps...
Au petit matin je me réveille et t'enveloppe
À la nuit tombante, prie, te berce, te rassure et m'endors
D'un amour qui ne se comparera jamais à rien d'autre
D’un amour démesurément plus grand que le mystère de tout l’univers
Je t'aime tant mon grand...
J’ouvre la porte de la connaissance et de la volonté
Décidée à apprendre et grandir encore
Résolue à accepter et à la fois ne pas accepter
J'aimerais oublier mais aussi ne pas oublier.
Les images de ta détresse
Tout au long de ta vie,
Remontant sans cesse à ma mémoire
Alors, mon ventre et le fond de mes entrailles hurlent
Je veux revoir ton immense sourire
Et en même temps ne pas le revoir
Parce que, pour l’instant, ces moments ne sont plus
Ces instants heureux, perdus dans le temps, si loin.
Mon fils, je te donnerais ma vie
En étant assurée qu'au lendemain même
Tes souffrances ne soient plus,
Comme si elles n'avaient jamais existé
Effaçant du même coup
Le souvenir de tout ce mal et ces blessures si grandes
Qui t’habitent et dont tu souffres constamment.
Et au fond, qui peut t'aider plus que toi-même...
Et pourtant
Je jure d'y être toujours
D’une autre façon,
Discrète et aimante à la fois
À la demande, à ta demande
En son temps...
Au petit matin je me réveille et t'enveloppe
À la nuit tombante, prie, te berce, te rassure et m'endors
D'un amour qui ne se comparera jamais à rien d'autre
D’un amour démesurément plus grand que le mystère de tout l’univers
Je t'aime tant mon grand...