Hier matin c'était la présentation des performances musicales de mes petits bouts de chou de 4 ans devant leurs parents. J'ai pris l'habitude de louer la sacristie de l'église tout près de chez moi pour l'occasion et comme toujours j'ai les mains pleines; valise d'instruments de musique, marionnettes, matériel audio, castelet. Un sprint pour mettre le tout en place et fonctionnel.
Je me stationne juste devant la porte où se trouve les escaliers menant au local; plus pratique. Avant d'ouvrir mon coffre arrière, je trébuche sur un véritable miroir de glace et par miracle je demeure sur mes deux pieds alors que, de toute évidence et selon mes calculs, j'aurais dû en réalité atterrir sur le dos en me fendant le crâne! Lorsque je tente d'ouvrir la porte d'entrée, elle est barrée. Pas de sonnette... Je dois donc faire le tour de l'église pour sonner au presbytère. Sprint no 2 en courant...
Et, le sourire fendu jusqu'aux oreilles:
-Bonjour monsieur le curé comment allez-vous? Non, ne regardez surtout pas ma botte droite; je sais, elle est délacée mais je vais faire attention, je ne tomberai pas!
-Je suis content de vous voir Mme Nanou. Toujours fidèle à vous-même!
-Ah bon, que voulez-vous dire?
-La jeunesse!
Hum, bien tiens je le prends ce compliment ce matin...
-Et bien merci, vous faites ma journée là!
Mes petits poussins d'amour ont bien fait ça, de vrais champions. Je les aime tant ces petits...
Lorsque vient le temps de repartir chez moi, c'est la grosse tempête. Wow, tout un défi, surtout que je sais bien qu'il y a de la glace sous cette neige. Pratico-pratique, je fais ni un ni deux et décide de rentrer ma voiture directement sur le grand trottoir près de la porte. Par contre, je n'avais pas réfléchi à l'étroitesse entre la porte de la voiture et le gros banc de neige juste à côté. Comment vais-je faire pour me faufiler là-dedans? Chirurgie... Mon théâtre de marionnette sous un bras, je me faufile délicatement afin de me donner l'espace nécessaire pour ouvrir la porte et hop, un petit miroir de glace. Je les attire ou quoi! Cette fois-ci c'est vraiment en pleine face que j'aurais dû tomber mais non, je suis restée debout, encore une fois! Bénie des dieux me dis-je en moi-même...
Au retour, pour prendre le reste de mes bagages, je vois monsieur le curé derrière la porte qui veut me dire bonjour. J'accours au devant de lui et me voilà qui pique direct à genoux dans l'escalier, les deux mains nues, enfoncées dans la neige. Oh boy... Bien la voilà la 3e fois, fallait bien que ça arrive!
- Je suis en train de vous faire une belle génuflexion, vous ne pouvez pas demander mieux!
-Vous êtes-vous fait mal?
-Non, pas du tout!
Puis, je me relève en vitesse et décide de terminer avec deux petites révérences, une avec le pied droit et l'autre avec le gauche. Faut bien rire de soi un peu, ça fait du bien! Tout compte fait, en additionnant mon message téléphonique laissé par distraction à ma comptable plutôt qu'au plombier afin qu'elle vienne débloquer mon évier de cuisine, ça vient clore ma semaine de gaffes.
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Il m'arrive de me demander comment je me sentirais si un de mes lecteur avec qui j'ai tissé des liens solides au fil des ans et qui demeure loin partait. Je pense à Nanoubis qui vit cette situation présentement... Les blogues ne sont pas éternels, les lecteurs non plus, pas plus que ceux qui écrivent. C'est pas parce qu'on écrit qu'on va y être demain, pas plus que ce lecteur qui vient me lire fidèlement.
J'espère que vous allez bien tout le monde... J'en profite pour vous dire que je vous aime et vous apprécie vraiment tous. Prenez soin de vous...
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C'est souvent dans la perte que l'on rend la valeur aux choses. En même temps, paradoxalement, dans la perte et la douleur se trouve toujours un certain calme, un souffle de vie intérieur, indéfinissable, celui qui fait qu'on repart avec un cadeau, un genre de bonus; celui d'emporter avec soi ce qu'il y a eu de meilleur chez l'autre. C'est comme un petit miracle ça, faut savoir reconnaître et apprécier.
"Au centre de nous-même réside une paix
que rien ne peut altérer.
Entrer quotidiennement en contact
Avec ce lieu de repos
Et d'énergie toujours présent
Est un devoir qu'une pratique régulière
Transformera rapidement en plaisir"
De même, dans la vie, si on prend la peine d'apprendre à regarder et sentir avec autre chose que sa tête, il n'existe ni bien ni mal, pas plus que d'événements de vie heureux ou malheureux, que de multiples fragments d'expériences qu'on a le devoir de transformer en séquences de vie positives et heureuses puis, qu'on range là, dans son coeur.
"Regarde l'événement venir à toi
Et rends-le heureux
Envers et contre tous "
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Tiens, j'aurais pu détester le feu, m'en faire une véritable phobie et un ennemi redoutable, parce que mon père, en état de psychose, jetait tout dans le feu; des casseroles, des vêtements, des vinyles, tout y passait. Il a même fait flamber le beau grand saule pleureur dans notre cour arrière et un hôtel à Québec. Et lorsqu'à la maison, on perdait quelque chose qu'on ne retrouvait plus jamais finalement, on avait l'habitude de dire d'un ton résigné: " Bon, ça doit être parti dans le feu!" Et pourtant, aujourd'hui, je l'adore ce feu moi, celui qui crépite dans l'âtre de la cheminée, apaisant et sécurisant, un vrai allié quoi.
Hier soir, je sirotais un petit verre de vin, emmitouflée dans mon châle, devant la chaleur des flammes. Dans le froid fébrile de cette tempête qui s'apaisait, j'y distinguais au travers la fenêtre l'ombre sombre des sapins tout enveloppés de blanc à la lueur d'un ciel épais de couleur, presque mauve finalement. J'avais devant moi un tableau d'une grande beauté. Admirant ce chef d'oeuvre et le silence velouté qui m'accompagnait, je me disais que j'étais vraiment heureuse...
23 commentaires:
J adore te lire,bonne semaine !
C'est toujours beau de voir ces spectacles de jeunes artistes. Tu as raison c'est triste de perdre des personnes auquel on c'est attaché au fil du temps et c'est ce qui fait qu'on reste sur le blogue, pour ne pas perdre ces amis virtuels.
"Regarde l'événement venir à toi
Et rends-le heureux
Envers et contre tous "
Je rigolais à lire ta chute devant monsieur le curé.
Moi, dimanche passé, sur la patinoire extérieure, coursant avec mes jeunes amis, j'ai perdu pied pour ne pas dire patins et me suis retrouvé encastré dans la bande de la patinoire sous les rires de ces dites personnes.
Ce fut un bel après-midi.
C'est sûr qu'on s'attache facilement aux belles personnes virtuelles comme toi.xxx
C'est du bonheur, juste à te lire.
Voilà un cocktail de belles réflexions, Nanou
Honnêtement, j'ai lu le texte 2 fois en pesant bien le sens des mots et l'ambiance qu'ils dėgagent. La citation soulignée par Le Factotum, elle m'a frappée aussi. Je m'en suis imprégné. Souvent les mêmes événements de la vie peuvent nous paraître aussi simples que compliqués dépendant de notre façon de les aborder.
Ce n'est que du bonheur à te lire ce matin et aussi de beaux rires, je t'imagine les bras chargés à essayer e te frayer un chemin sans tomber !!!
Melle Sophie aurait dû te tenier la main quand même !
2mue par ce que tu évoques sur mon départ des blogs...Notre conversation récente .
Mais pas éloignée de toi, nos longs échanges et nos fous rires "skypiens" en témoignent .. Tu es souvent plus proche de moi que nombre de mes amies bien réelles, et ce lien tissé entre nous est si fort !!! et tu m'aides tellement de ta lumière dans mes ténèbres, qu'à chaque fois que je parle avec toi ou te vois, il fait de suite soleil !!!
grande tendresse pour toi, et tu as raison, tes lecteurs ont bien de la classe ! je les salue ...
J'embrasse très fort Claude , chère Claude que je n'oublie pas ! je sais qu'elle passe...
Nanoubis :-)
Il m'arrive à moi aussi de trouver un peu regrettable de voir des blogueurs s'éloigner où disparaître de nos écrans radars. C'est la vie, nos préoccupations, le temps disponible qui sont en cause bien souvent.
Cependant, je consulte souvent les données sur la fréquentation de mon blogue. Et j'ai le plaisir de constater que plusieurs amis virtuels continuent d'être présents, même s'ils ne font que passer.
Je ne laisse pas toujours un commentaire, mais j'ai rarement manqué un billet ici. Je m'y intéresse toujours.
Nanou,
Le hasard à voulu que j'aie beaucoup d'occasions de penser à toi ces jours-ci. Cette fois, c'est un détour sur le blogue Chez Zoreilles qui m'y a poussé.
Son billet porte sur les loups. J'ai été amené à me rappeler l'étrange expérience d'Hélène Grimaud, pianiste d'origine française. En revoyant le reportage sur elle, je n'ai pu m'empêcher de te laisser ce lien qui me fait penser à toi sur bien des aspects: Elle joue avec les loups .
Tu seras toujours jeune, ton curé l'a senti. Et heureuse la plupart du temps, parce que tu le veux, parce que tu ne demandes rien, parce que tu accueilles, la vie, les gens et que tu sais voir la beauté dans toutes choses. Et si elle est absente, tu la crées, car tu es une artiste.
Toujours et le je choisis bien mon mot...
Toujours tu me fais du bien!
Je parle de toi parfois...
Et pourtant on ne se connait pas vraiment.
Mon chum me demande souvent des nouvelles de ton Fafouin, toujours quand on parle de ma belle Lo.
Aujourd'hui tu m'as fait rire, parce que ce que tu racontes, j'aurais pu l'écrire aussi!
M'enfin!
Je tiens à toi, même si je ne me manifeste pas toujours!
Prends soin de toi!
xx
J'aime beaucoup cette phrase de toi, citée par Le Factotum et remarquée par Jacks. Il me semble que c'est tout toi, cette phrase!
Nos amitiés virtuelles... Depuis plus de 7 ans que je blogue et même bien avant lorsque j'animais (avec notre ami Jacks) des forums de discussion sur la Place Publique de Sympatico, je sais que ces amitiés sont bien réelles. Pour plusieurs raisons et l'une d'entre elles, c'est qu'on connaît une personne par l'intérieur, grâce à ses écrits. On ne peut pas rester en surface quand on écrit, on plonge à l'intérieur, dans le plus vrai.
J'ai perdu beaucoup d'amitiés virtuelles au fil des dernières années. Je n'étais jamais celle qui se désintéressait mais je comprends que c'est la vie. C'est le propre des amitiés virtuelles, parfois elles durent toute la vie, parfois pas.
Le pire détachement brusque que j'ai eu à vivre à ce chapitre, c'est lorsqu'une fidèle (je la lisais autant qu'elle me lisait) qui s'appelait comme son blogue, « En direct des Îles », a été assassinée, sur son île au Mexique. Un meurtre gratuit. Ce sont ses enfants qui savaient combien elle tenait à ses amitiés virtuelles, qui nous ont avisés, qui ont publié quelques articles des journaux de là-bas pour nous tenir au courant. Nous avons eu de la misère à faire notre deuil, nous n'avons pas pu parler d'elle, nous « réunir » en son nom ni rien de tout ça. Son blogue est resté en ligne et muet pendant de longs mois, j'aimerais y retourner parfois pour revivre nos conversations...
Par nostalgie sans doute ou parce que je m'ennuyais d'elle après en avoir parlé ce matin, j'ai eu le réflexe de chercher sur Google le blogue de cette chère disparue. J'apprends que neuf mois après son décès, son fils a décidé de remettre en ligne le blogue de sa mère, en souvenir d'elle et des gens qui l'ont tant aimée. C'est ici :
http://endirectdesiles.com/
Je n'avais pas eu le temps de laisser un commentaire sur son dernier billet lorsque tout s'est arrêté mais sur son avant-dernier billet, j'ai publié le dernier commentaire laissé sans réponse de sa part et pourtant s'il est là, c'est qu'elle a eu le temps de l'approuver avant qu'il se soit affiché. Je sais donc qu'elle m'a lue juste avant que... Cette grande dame ne laissait jamais un commentaire s'exprimer sans y faire au moins un sourire ou un clin d'œil complice.
Je me souviens que sur mon blogue, à la suite de son décès, je lui avais rendu un hommage. J'avais tant de peine et pourtant, il s'agissait d'une amitié virtuelle, tellement réelle.
À Zoreilles,
En souvenir d'une amitié virtuelle.
J'ai été visiter le blog de ton amie.
Bonsoir à tous,
Oh boy,il y a de l'action ici!
Regard des médiateurs,
je suis bien heureuse de te revoir ici et merci!
Solange,
mes petits sont tellement mignons, je n'avais que des garçons cette session-ci. Des petits amours...
Ce que je voulais dire Solange, c'est lorsqu'une personne meurt ou est sur le point de mourir; une lectrice ou celui où celle qui écrit un blogue.
Le factotum,
t'as bien fait de rigoler, moi aussi j'ai bien ri de moi! Je me permets de rire aussi de toi xxx. Pour le reste, merci, c'est vraiment gentil...
Pierre Forest,
c'est gentil, merci!
J'avais envie de vous faire rire!
Jackss,
cette citation ne vient pas de moi, c'est pour ça qu'elle est entre guillemets. Malheureusement, l'auteur n'était pas identifié. C'est exactement de cette façon que je vois les choses. Nous avons tellement de pouvoir sur nous-même et moi, je souhaiterais que plus de gens vivent de cette façon. Il y aurait plus de bonheur dans le monde, non?
Nanoubis,
j'en ai toujours trop dans les bras, je ne me corrige pas! Malheureusement, Mlle Sophie n'était pas présente...
Ce que j'évoquais Nanoubis ce n'est pas ton départ des blogues mais bien lorsqu'un lecteur nous quitte, est malade, meurt... Comme ça t'arrive présentement avec une de tes fidèles lectrices.
Vive le soleil! C'est le but ultime et faut dire que Mlle Sophie n'a pas son pareil pour remonter le moral des gens. Mais ce n,est pas moi, c'est Mlle Sophie!
J'aime tout mon petit monde virtuel et apprécie vraiment chacun d'entre vous xxx
Jackss,
comme j'expliquais plus haut, je parlais de maladie ou de mort, soit d'un blogueur, soit d'un lecteur.
Je connais ta fidélité, merci d'y être xxx
J'en profite pour te remercier. J'ai bien aimé le video "Elle joue avec le loups". Ça me rejoint tellement. Moi, je danse avec les marionnettes, la musique, les enfants et les chiens-chiens, mes amours!
Une Femme Libre,
je ne sais pas trop quoi dire là... Que de beaux mots. J'en suis à la fois émue mais gênée tout de même. Merci beaucoup xxx
Julie Deblois,
que d'émotions tu me tires là dans ton beau discours rempli de sincérité et de tendresse. J'ai la gorge toute serrée. Merci...
Fafouin a eu sa sentence. Il ne sortiras qu'en mars 2015.Voilà, C'est ça qui est ça!
Zoreille,
cette citation ne vient pas de moi mais, effectivement, elle me rejoint beaucoup.
C'est tellement vrai ce que tu dis. Lorsqu'on écrit, on se jette dans la gueule du loup, on s'étale de tout ce qu'on est à l'intérieur. Lorsque j'ai commencé à écrire sur les difficultés de mon fils, je n'étais pas certaine si c'était une bonne idée.Je me disais que c'était trop, que ça ferait peut-être peur aux gens et en même temps, il y avait une petite voix à l'intérieur qui me disait: Faut que tu en parles, fais-le...Faut toujours écouter la petite voix. Elle ne m'a jamais trompée!
Comme je l'ai mentionné aux autres, je parlais de la mort, de la maladie d'un lecteur ou blogueur.
Oui, me me rappelle bien sûr de "En direct des Îles." Quelle histoire terrible ce fut... Je suis revenue souvent relire son dernier billet en me répétant que la vie c'est si fragile...À ce moment, je commençais seulement à lire son blogue. Je sais que Femme Libre a aussi été bien troublée par cette perte... Et oui, comment faire son deuil, un deuil tout à fait spécial, un deuil virtuel c'est sans doute de cette façon que ça se passe...Et, oui, je suis déjà retournée aussi par la suite pour voir la dédicace de son fils.
C'est si touchant ce que tu écris, t'as eu beaucoup de peine, on le sent dans tes mots. Je prends ta main là xxx
Factotum,
t'es un amour xxx
Oui Nanou je sais que tu pensais à mon amie Suzanne, qui a été si fidèle chez moi...et j'ai tant de peine . j'ai aussi suivi l'hommage de Zoreilles, et hier j'ai lu les articles de cette tragédie, et j'imagine le chagrin de chacun et chacune qui échangeait sur leurs blogs respectifs. Cette perte qu'il est si difficile d'expliquer à notre entourage qui ne connait pas la vie des blogs.
J'ai choisi au bout de presque 6 ans et trois blogs de m'en aller, car j'absorbais tant les malheurs des autres que je perdais toute mon énergie pour lutter contre la maladie ...
Mais toi tu as toujours su me remettre sur pied, j'ai ma force et additionnée à la tienne, le miracle a toujours lieu
Tes lecteurs sont tout autant passionnants
Je t'embrasse fort fort
Nanoubis,
je comprends parfaitement ton retrait et je trouve que c'est une excellente décision, considérant ta très grande sensibilité.
Comme tu le dis si bien, c'est difficile d'expliquer aux autres ce grand attachement qu'on a et le lien profond que l'on crée avec ceux qu'on lit ou qui nous lisent. Pourtant, ce lien existe réellement,bien solide et empreint d'un très grand respect mutuel.
Et toi, toujours d'une grande aide et soutien inconditionnel, riche de ton expérience TPL.Et je sais que tu aimes profondément Fafouin . Merci, merci... tendres bizous xxx
CHERS VOUS TOUS,
la qualité de vos personnes me va droit au coeur et m'impressionnera toujours. Je vous connais tous très bien, ayant échangé soit par courriel, téléphone et rencontre de plusieurs au fil du temps..
En ouvrant mon blogue en janvier 2008, j'étais bien loin de me douter de cette magnifique aventure qui m'attendait.
Je retiens surtout la richesse de nos contacts, l'appui, la confiance et le respect mutuel indéfectible que nous avons les uns envers les autres, votre fidélité et votre grandeur d'âme et l'amour qui ressort de toutes ces belles discutions et échanges...
Un immense merci à chacun d'entre vous. Merci de votre confiance ,
Je vous aime tant !
Renée d'En direct des Iles, comment ne pas en avoir un bon souvenir? Une femme qui aimait tant la vie. J'étais sur Réseau contact dans ce temps-là et on s'écrivait en privé, on s'échangeait des trucs sur la vie et sur... les hommes! Elle les aimait tant, tout comme moi. C'est drôle, je la sais morte mais je la perçois bien vivante. Un genre d'énergie éternelle qu'elle avait.
Femme Libre,
oui, lorsque je pense à "En direct des îles" je pense à toi car je sais que ça t'avait affectée vraiment beaucoup...
Je n'ai pas eu le temps de la connaître assez mais les articles de journal du temps parlaient d'une blogueuse très aimée de ses lecteurs.
Je t'embrasse tendrement xxx
Pour la photo de nos fleurs, en haut à droite ....Merci infiniment pour ma chère Suzanne, mon autre québécoise ! merci pour elle de ton geste si touchant pour moi, ses bloggeuses seront ainsi avec elle pour son beau voyage ....Aujourd'hui est si triste mais l'amitié si belle
je t'aime très fort ma Nanou bis...
L'amitié sincère, y'a rien qui bat ça Nanoubis... Je t'aime xxx
Me voilà !
C'est bien de lire à la fin de ce beau texte que tu es heureuse.
Il faut bien se un petit coin de bonheur quant il y a des choses qui assombrissent ma vie d'une façon ou d'une autre.
Je comprends pourquoi tu me disais que tu me commanderais bien des marionnettes, par contre je ne suis pas facteur en instruments de musique.
Ah cette Nanoubis, qu'elle est gentille !
Bonne continuation Nanou La Terre !
Claude,
mais j'étais heureuse aussi en culbutant! Ahah!
Les petits coins de bonheur c'est un devoir que l'on doit cultiver chaque jour et chaque minute...
Oups, les marionnettes, j'ai oublié. Je t'écris alors...
Nanoubis est un trésor...
Bonne semaine Claude!
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